RENCONTRE AVEC GILBERT LE COSSEC

Auteur du livre : le souffle du MENHIR . Il propose ce texte à notre réflextion

De tous temps l'homme s'est rendu compte qu'il existe dans le ciel et dans la terre des énergies très diverses dont il pouvait tirer partie. Certaines ressources naturelles sont faciles à exploiter, et d'autres le sont d'autant moins qu'elles sont, par nature, plus subtiles. Si l' homme à su rapidement utiliser le métal, l'électricité est venue bien plus tard. Les traditions nous montrent pourtant que dans toutes les civilisations il existe des connaissances bien précises d'énergies que nos appareils de mesure modernes sont incapables de déceler. On peut se référer par exemple aux égyptiens qui pratiquaient la radiesthésie, puisque l'on a retrouvé des pendules dits "de Toth" dans les sarcophages. Ceux qui s'intéressent aux ondes de forme connaissent les propriétés bien particulières des pyramides. En Chine, on pratique toujours l'art millénaire du "Feng Shui" avant de construire .Il ne viendrait à l'esprit de personne dans ce pays de bâtir une maison ou un immeuble sur une "veine de dragon ". Superstitions et fariboles, me direz vous, alors comment expliquer rationnellement le bien être ou le mal être ressenti dans une habitation, pourquoi les cancers sont-ils systématiques en certains lieux, tout comme la mort subite du nourrisson, pourquoi dans certains élevages, les animaux s’entre-tuent ou dépérissent alors qu' à quelques mètres plus loin , tout se passe bien ?

Exerçant la profession de photographe, je me suis mis en quête de montrer ces énergies, ou tout au moins leurs effets. Après 7 années de recherches j'ai obtenu des résultats spectaculaires sur les menhirs. Pour comprendre le sens de ces images, je suis devenu géobiologue. La géobiolobie est l'influence de la terre (et du ciel ) sur tout ce qui vit. Elle comporte l'étude des réseaux géomagnétiques, des courants telluriques, et des forces cosmiques ...vaste programme. Cette science permet de comprendre ce qui se passe dans les maisons dites 'à problèmes" et elle propose un certains nombre de remèdes suivant les cas. Elle permet aussi, avec l'aide de ces photos d'approcher le phénomène mégalithique. Ces grands monuments de pierre ont été érigés depuis la fin du mésolithique et surtout au néolithique soit en gros de - 8000 à 3000 avant notre ère. On les trouve un peu partout dans le monde, mais leur concentration la plus importante se trouve autour des côtes armoricaines. Si on n'a jamais pu expliquer pourquoi nos ancêtres se sont donnés tant de mal pour ériger des menhirs (pierres levées) dont le poids peut varier de 15 à 350 tonnes, on pense que les dolmens , ou tables de pierre, ont servis de sépulture. Il existe encore aujourd'hui aux Iles Célèbes une population Torraga qui rend aux morts un culte dolménique. En relevant l'organisation des réseaux et des courants telluriques sur lesquels est érigé un menhir, on s'aperçoit que la pierre est toujours placée à une conjonction précise. L'étude des photos montre un mouvement régulier des halos lumineux qui fait penser à une respiration. Ce mouvement se traduit par une modification des formes et des couleurs de ces halos, et qui s'accompagne d'une augmentation et d'une diminution de l'énergie du lieu.

Les photos ont également montré qu'il se passe périodiquement des échanges entre la terre et le cosmos. Cette hiérogamie permet d'expliquer le culte du ciel et de la terre que leur vouaient les populations néolithiques. Cet aspect électromagnétique ( à très haute fréquence) des choses était soupçonné par certains chercheurs depuis longtemps, mais ce nouveau procédé photographique à permit de le montrer. L'étude des courants telluriques autour des dolmens à été plein d'enseignements, et nous avons pu enfin Comprendre comment fonctionne le couple menhir- dolmen. On sait que la conquête de l'Armorique par les légions romaines à eu pour conséquence le massacre des druides, gardiens des grandes pierres, lesquelles furent abattues pour éviter que la population ne se livre à des cultes "païens " qui pouvaient échapper au contrôle de Rome. Puis ce fut au tour de Charlemagne d'ordonner la destruction des mégalithes. Mais on ne détruit pas aussi facilement des sites que les populations considéraient comme sacrés . Aussi on christianisa des menhirs en sculptant des croix, on bâti des chapelles et des églises sur leurs emplacements. Si on ajoute à cela le vandalisme, on peut estimer que le système mégalithique initial est bien dégradé. On s'apercoit pourtant qu'il reste encore en place un certain nombre de monuments et qui sont disposés d'une façon bien particulière. Il est d'ailleurs amusant de constater à ce propos qu'une étude cartographique sérieuse suivie d'un contrôle sur le terrain aboutit au même résultat que le tracé d'un radiesthésiste entraîné. On s'apercoit ainsi que les menhirs et les dolmens sont disposés sur des lignes qui se recoupent parfois suivant des angles particuliers. Il est impossible de conclure au hasard tant cette ordonnancement semble répondre à des critères précis. Seule la vision "énergétique" de la chose permet de donner un sens à ces efforts titanesques, et de comprendre enfin "a quoi ça sert".

Très curieusement, et à posteriori , je me suis aperçu que cette étude sur les mégalithes était beaucoup plus d'actualité que je ne l'avais imaginé. Après sa publication, j'ai été contacté par des géobiologues qui remettent les menhirs en marche pour combattre les différentes pollutions que l'homme s'obstine à produire avec tant d'acharnement. Les résultats de ces travaux sur les élevages et les cultures sont positifs et quantifiables. Judicieusement planté et bien orienté, un menhir assainit un jardin des radiations telluriques géopathogènes et l'effet ressenti dans son environnement est bienfaisant. Ainsi, après avoir déployé tant d'efforts pour lever les pierres, puis s'être donné beaucoup de mal pour les détruire, l'homme prend conscience de la richesse et de l'utilité de ce patrimoine venu du fond des âges. La publication du "Souffle du menhir" m'a permit de rencontrer quelques passionnés et des échanges fructueux se mettent en place. En unissant leurs efforts, les géobiologues du groupe sont plus efficaces pour combattre non seulement les pollutions traditionnelles mais aussi celles qui nous arrivent amplifiées par les satellites et les antennes “ gsm ” des téléphones portables . Un ami thérapeute commence à utiliser l'énergie des menhirs pour soulager ses malades, et il paraît que ça marche. Enfin, notre groupe met en place des stages d'initiation à la radiesthésie et au ressenti sur des lieux particulièrement forts comme le site du Relecq dans les monts d'Arrée en Bretagne, la forêt de Brocéliande, ou l'île de Molène. Ces énergies existent, elles sont produites en abondance et gratuites . Il nous reste encore beaucoup à apprendre dans ce domaine . Les hommes du néolithique savaient les utiliser, et nous commençons juste à nous familiariser avec elles . Il est probablement temps d'oublier nos préjugés et de porter un regard nouveau sur notre patrimoine mégalithique.

Contact : GILBERT LE COSSEC 3 rue de l’aire 44350 Saillé/GUERANDE Publication : “le souffle du menhir” par Gilbert Le COSSEC aux édition Dervy 34 bd Edgar Quinet 75014 PARIS